La Machine, Valeria Giuga, automne 2021

Chorégraphies, partitions Valeria Giuga

Co-conception et production Lise Daynac

Conception technique et design graphique Claire Pollet

Création textuelle et sonore Anne-James Chaton

Musique Andy Moor

Création sonore Florent Méry

Construction Pierre Le Lay

Chef opérateur Hugo Malidin

Conseils et sélection des partitions Noëlle Simonet

Danseurs (en vidéo et pour la performance en alternance) Antoine Arbeit, Aniol Busquets, Marie-Charlotte Chevalier, Lise Daynac, Valeria Giuga, Noëlle Simonet

Production Labkine

Coproductions VIADANSE Direction Fattoumi/Lamoureux- CCNBFC à Belfort,

Espace Gantner à Bourogne. Labkine est subventionnée par la DRAC Occitanie au titre de l’aide à la structuration.

Partenaires Ecole Le Fresnoy, Roubaix – CDCN LE GYMNASE, Roubaix – La Place de la Danse – CDCN Toulouse / Occitanie – Le Carreau du temple, Paris

Avec l’aide de la SPEDIDAM

Installation et performance participative avec amateurs à partir d’1m20

 

Création novembre 2020

A la fois installation interactive et spectacle chorégraphique, LA MACHINE c’est : une borne Arcade à danser, une exposition interactive autour de l’écriture du mouvement inventée par Rudolf Laban, une performance dansée participative et un site internet ressource.

Objet hybride entre la borne de jeu Arcade et la machine à sous, LA MACHINE est une borne interactive qui génère des mouvements sur le principe de séquences tirées au sort par un joueur.

Par un système d’imitation, ce joueur muni d’un casque audio, reproduit les gestes d’un danseur à l’écran et apprend un très court extrait chorégraphique.

Objet créatif et ludique, LA MACHINE permet à tous de découvrir la danse contemporaine et la culture chorégraphique en traversant de courts extraits tirés de 16 oeuvres de chorégraphes célèbres et moins connus du XXème et XXIème siècles.

LA MACHINE renferme des esthétiques multiples depuis une pièce inspirée du « Ballet Triadique » d’Oskar Schlemmer, en passant par la danse allemande de Mary Wigman, la post-modern pour finir avec des contemporains comme Carolyn Carlson.

Le site internet dédié permet de retrouver La MACHINE à tout moment et de se familiariser avec cet univers chorégraphique.

Parce que découvrir la danse c’est aussi et surtout la voir, l’installation LA MACHINE est clôturée par une performance dansée participative pour trois interprètes et un groupe de danseurs amateurs chorégraphiée par Valeria Giuga, mise en texte par Anne-James Chaton et en musique par Andy Moor.

Dans la performance dansée, Valeria Giuga ré-invente les différentes matières chorégraphiques que comporte LA MACHINE en les confrontant les unes aux autres à travers un processus de re-création, de réagencement, de répétition et d’accumulation.

Dans ce palimpseste chorégraphique, Valeria Giuga mélange des esthétiques hétérogènes pour leur donner une nouvelle cohérence. Elle réactive et fait dialoguer des écritures, à la manière d’un caléidoscope, pour proposer une écriture originale.

Le groupe d’amateurs, en entrant dans la danse aux côtés des danseurs de la compagnie, vient démultiplier le geste par contamination, reconstruire l’espace et ouvrir de nouvelles perspectives.

SITE INTERNET DE LA MACHINE : www.lamachine-labkine.com